Avez-vous une fois cherché à savoir ce qui se cache en dessous du capot d’un détecteur métal ? Aviez-vous posé des questions sur le fonctionnement des détecteurs de métaux ? Peut-être que vous, vous posez souvent ces questions qui restent sans réponses fiables et pourtant, cela est important.
La morphologie d’un capteur de métaux
Un détecteur de métaux est un appareil conçu pour capter toute sorte de métal. Il est constitué de certaines composantes qui se mettent ensemble pour un fonctionnement efficace. Ainsi, il est composé d’un boitier de contrôle ayant un écran de contrôle ainsi qu’un haut-parleur, découvrez plus d’informations via ce lien. Il est également composé d’une télescopique ou d’une canne qui lui permet de se disposer. Enfin, il est composé d’une tête de détection encore appelée disque, très fréquemment associé au boitier par un fil. Cette partie du détecteur des métaux est très utile, car c’est elle qui mesure la précision, la sélectivité, la puissance ainsi que la puissance et la taille du métal détecté. Si le disque concentrique est performant, le signal qu’il transmet est fort et cela rend le balayage assez méticuleux. Pour effectuer des recherches dans une zone minéralisée, c’est le disque DD qu’il faut utiliser compte tenu de la puissance de son signal qui va beaucoup trop en profondeur.
Sur quel principe se repose le détecteur des métaux ?
L’induction électromagnétique est le fondement du fonctionnement sur lequel se reposent les détecteurs de métaux ayant une fréquence très basse. À l’intérieur de la tête d’un détecteur de métaux, une bobine émettrice ainsi que des bobines réceptrices. Chacune d’entre elles joue un rôle spécifique. C’est la bobine émettrice qui envoie le signal sous forme radiofréquence créant ainsi un champ électromagnétique. Lorsque des objets métalliques entrent en contact avec ce signal, il y a la perturbation qui survient. La perturbation déclenchée par le signal est alors interceptée par les bobines réceptrices.